
Seize sculptrices vous donnent rendez-vous à l'Orangerie du Sénat du 4 au 15 août 2010. Elles proposent de laisser leurs oeuvres se parler
et se répondre au coeur d'une embarcation. Une invitation au voyage et à la rêverie
que les jardins du Luxembourg se devaient d'accompagner. Suivez ces 16 'sardines' qui baignent dans la création.
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Elles se nomment Gunilla, Jacqueline, Caroline, Annie, Isabelle, Ann, Delphine, Marielle, Elizabeth, Madeleine, Caroline, Hélène, Delphine, Marie-Virginie, Sophie et Dominique.
Pour rire, entre elles, elles s'appellent les sardines.
Pour sculpter, entre elles, chacune quitte son atelier afin de rejoindre celui qui est devenu le leur, tout d'acier de verre et de lumière, sous lequel elles agitent leur esprit et leurs mains.
Pour prolonger la fête et pour mieux se montrer, elles prévoient d'exposer... entre elles, ça va de soi.
Pour soutenir leur regard, entre elles plus un, elles se tournent vers celui de l'artiste Alain Vuarchex, à la fois exigeant et vivifiant, qui pendant des années s'est posé délicatement sur le travail de chacune d'elles sans jamais les enfermer dans la même boîte.
Ces sardines sont volatiles, trop libres, trop indisciplinées, trop différentes.
Chacune a son courant, d'eau douce ou plus salée.
Mais lorsqu'elles frayent ensemble, c'est pour mieux voir et ce qu'elles sont et ce qu'elles font, c'est pour mieux repartir, c'est pour mieux revenir, c'est pour mieux se trouver...
Si vous les surprenez un jeudi, au hasard d'une promenade passage Lhomme, vous les reconnaîtrez aux taches de plâtre ou d'argile sur leur robe désargentée mais surtout au sourire sur leurs lèvres qui ne s'atténue que le soir venu.
Si vous les rencontrez, elles ne vous donneront que leur prénom, parce qu'entre elles, elles perdent leur nom comme une cédille mal accrochée qui ne passerait pas la porte, la porte de l'atelier qui est le leur. Si vous cherchez leur atelier, vous aurez du mal à le trouver, au fond d'un passage vert et caché, dans une ancienne miroiterie du 11ème arrondissement de Paris où, autrefois, on fabriquait des reflets. Si vous leur demandez pourquoi, on les appelle « les sardines », elles ne mordront pas à l'hameçon , elles mêmes ne le savent plus, si tant est qu'elles l'ont su. Elles se souviennent juste d'avoir beaucoup ri le jour où ce petit nom s'est attaché à elles sans crier gare et ne les a plus lâchées.
Seize femmes sculpteurs exposent à l'Orangerie du Sénat du 4 au 15 août 2010.


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Marie-Virginie DRU
Après avoir été photographe, c'est aujourd'hui les mains dans la terre que je peux exprimer la part d'enfance qui est au cœ,ur de mes émotions ...mes personnages me ressemblent comme une sœ,ur ou un enfant et témoignent pour moi que l'équilibre comme le bonheur se gagne à chaque seconde.
Marie-Virginie Dru débute en tant que mannequin. Mais très vite, c'est derrière l'objectif qu'elle laissera s'exprimer ses sensibilités multiples.
Après avoir été assistante des photographes Jean-Daniel Lorieux et Hervé Nabon, c'est pour Kenzo Parfums que Marie-Virginie décroche ses premiers contrats.
En 2000, elle s'initie à la céramique auprès d'Henriette Galliard, puis passe à la sculpture sur terre aux ateliers Poussin.
En 2008, elle participe aux cotés de Xavier Roy à l'exposition « Détournements » à la galerie Just Jaeckin.
« ... elle sculpte aujourd'hui ce qu'elle photographiait hier. On sent la volonté de retenir un moment de vie pour ce qu' il a d'intense, de magique et de paradoxal, de l'arracher de l'oubli. Les sculptures de Marie habitent le même monde que ses photographies, celui de l'instantané qui veut arrêter un geste au meilleur de sa grâce. »
Fabrice Malzieu

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Delphine MARTOCQ
Les animaux sculptés par Delphine Martocq laissent entrevoir leur grâce et leur humeur, leur vitalité saisie à l'instant où leur élan les emporte. C'est un moment d'équilibre instable, mélange d'allégresse et de légèreté, d'harmonie et de puissance, dont chacun pourra rêver de l'issue.
Don Quichotte, Sancho Pança et Icare font parfois irruption dans son bestiaire.
Delphine porte sur eux et sur leur quête un regard poétique et tendre, tout en émotion contenue.
« Delphine Martocq a découvert la sculpture et quitté le monde de l'entreprise il y a quinze ans. Elle s'est formée à l'atelier Nicolas Poussin puis elle a rejoint l'atelier de la Miroiterie à Paris, où elle travaille sous l'œ,il d'Alain Vuarchex.
Elle a exposé récemment à Paris à la Galerie de la Grande Masse des Beaux Arts et à la galerie de l'Hôtel Mezzara.
Elle utilise notamment le plâtre pour la grande liberté qu'il offre, mais aussi la terre, le papier mâché ou la ficelle. »

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Hélène JOUSSE
'Son art, tout d'inquiétude, nous donne à entrevoir le monde en profondeur. Elle se construit à travers ses sculptures et ce n'est qu'à travers cette recherche de l'équilibre à l'issue incertaine qu'elle trouve une forme de liberté et de réconciliation intérieure.
Expérience des plus grisantes et des plus dangereuses. Car lorsqu'on a commencé comme ça, on ne saurait plus accepter le monde autrement. Pierre Assouline.
Hélène Jousse est sculpteur depuis dix huit ans, date à laquelle elle décida de quitter son cabinet de psychothérapeute pour se consacrer exclusivement à la sculpture.
Elle s'est formée à l'atelier Nicolas Poussin auprès du plasticien Alain Vuarchex. Depuis, elle ne cesse d'apprendre et de chercher la forme la plus apte à exprimer l'inédit d'elle-même.
Le corps humain, dont elle tenta d'extraire l'irréductible point de gravité, alimenta sa quête de l'équilibre et du déséquilibre pendant des années.
Elle s'en est échappée voilà deux ans pour explorer le mystère du visage qu'elle réduit à sa plus simple expression pour découvrir qu'il continue, inlassablement, à nous livrer sa part d' humanité.
Elle collabore depuis quinze ans avec la galerie parisienne Martine Moisan qui l'a suivie dès ses débuts et plus récemment avec la galerie Albane à Nantes qui a soutenu ses dernières explorations.
On a pu voir ses sculptures à Vevey, en Suisse ou à Singapour grâce à l'Opera Gallery.
Mais peu importe l'endroit ou le contexte, qu'elle expose dans une galerie, dans une école, dans un jardin public, dans un hôpital, ce qui compte pour elle, c'est le regard, celui qui la hante parce qu'il persiste dans ses portraits sans yeux, et celui du visiteur qui passe et qu'elle voudrait savoir transporter jusqu'à sa vision.

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Delphine GIRAUD
Delphine est née en France en 1962 et après avoir vécu à Londres, elle vit et travaille désormais à Paris. Delphine intègre en 1993 , pendant ses années londoniennes le Chelsea College of Art and Design. Elle s'initie a la sculpture . En 2000, de retour en France, Delphine devient l'élève de Alain Vuarchex à l'atelier Poussin. Ce dernier la guide et l'oriente dans sa créativité tout en l'aidant à puiser dans son imaginaire. En 2004, elle le suit à l'atelier de la Miroiterie à la Bastille.
« Les sculptures de Delphine sont toutes inspirées de la nature, de ces formes qui émergent aux origines, on les croit taillées dans la roche puis devenues ,au fil du temps, plus filiformes comme si elles avaient été aspirées vers le ciel. Il en émane beaucoup de vitalité et d'énergie. On retrouve dans ses patines la tonalité de l'écorce de l'arbre, des végétaux. »
Expositions:
- 2009 Collectif Artistes, Galerie Art City, Paris
- 2008 Exposition Espace Cinko , passage Choiseul, Paris
- 2002 Chelsea College of Art Londres expositions collectives

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Caroline KINDERMANS
Après un long parcours dans le secteur de la communication, Caroline retourne du côté du jardin et intègre l'École du Paysage de Versailles.
Puis, c'est tout naturellement qu'elle se tourne, il y a plusieurs années, vers la culture. Après l'avoir travaillée, aujourd'hui elle la modèle et la sculpte.
'Contrainte et démesure d'installations, un paysage.
Organique ou géométrique l'architecture des sculptures trouve leur source dans l'imaginaire et la magie de l'enfance.
Mon engagement dans le volume est inspiré par les formes humaines et naturelles.
La nature en mouvement stimule mes différents univers qui doivent mener leurs vies avec force et vitalité.'

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Sophie CAVALIÉ
Née à Paris, diplômée des Arts Appliqués, ancienne architecte d'intérieure, elle aborde la sculpture en 1996 sans perdre pour autant son amour du dessin. Son travail est exposé depuis 2000 dans des salons et galeries en France et à l'étranger.
« Sophie Cavalié fait semblant de sculpter l'eau, les arbres, les tortues, les nuages...
Mais quand elle s'applique à faire des ronds dans l'eau en rebrodant le métal, à griffer de sa plume l'écorce de ses arbres en terre, à strier la carapace de ses bestioles, c'est du destin de l'homme qu'elle nous parle et dont elle cherche le mouvement perpétuel à travers la vie qui coule et peut-être s'échappe.
Le règne du végétal ou de l'animal la renvoie sans cesse à celui de l'humain.
Elle travaille toujours à la périphérie pour mieux dire l'épicentre de ce qui la taraude: ce qui disparaît, s'érode, se décharne, vieillit, se désosse, finit-il un jour par réapparaître?
Cette métempsychose, qu'on voudrait inhérente à tout ce qui vit, elle l'attend et nous avec elle, tant ce qu'elle nous donne à voir incarne cet espoir fou. »

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Isabelle POPRAVKO
Née en 1966, de formation de designer (diplômée de l'ESDI en 1990), Isabelle commence dans le graphisme puis travaille dans la décoration d'intérieur en réalisant des trompe-l'œ,il. A partir de 1998, Isabelle se consacre à la sculpture.
Elle sculpte ce qu'elle voit, ce qui la fascine et aussi ce qu'elle a dans la tête. Ses œ,uvres sont issues de la terre, de la matière.
En même temps, il y a toujours un aspect qui nous fait prendre du recul, qui nous entraîne vers plus de légèreté et qui nous dit :'Regarde, ce n'est pas tout ! On peut aussi le voir autrement. Comme une ouverture sur un espace.
L'espace de notre vie ?
'Chaque sculpture façonnée par mes mains est l'empreinte du temps qui passe.
Elles sont pétries une à une dans l'argile, battues par le bâton, caressées par les doigts, roulées par le ressac de l'eau, pour se construire dans leur attitude propre qui les rend tout à coup si réelles, si présentes.
Les voici vivantes ...
Avides, prêtes pour le voyage de l'existence, bonheur d'une vie pleine.'

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Ann MURCHISON
Diplômée des Beaux Arts, Université de Newcastle, Newcastle-upon-Tyne, Angleterre.
Étudie l'orfèvrerie à West Dean College, Sussex, Angleterre.
Étudie la gravure aux ateliers Beaux-Arts de la ville de Paris.
'La pollution des mers et des océans. Jusqu'aux extrêmes frontières de l'Europe, les
Hébrides, d'ou je viens, chaque marée dépose son ruban de détritus - bouteilles en plastique, filets de pêche et cordage en plastique eux aussi, animaux et oiseaux morts - sur une côte sauvage et désertique. Il y a une beauté sinistre dans le turquoise de la pollution .. Dans mes sculptures, au lieu d'une iconographie traditionnelle - religieuse ou mythologique - je cherche à en trouver une nouvelle qui correspond au monde actuel. Je cherche la beauté dans l'ordinaire, le banal, dans les déchets orduriers qui atteignent les lieux les plus inattendus, le littoral de Kylerhea, l'île de Skye....'
« Avec ses animaux sculptés en bas relief sur plaques elle a fait revivre une tradition datant de la Renaissance en y imprégnant son style résolument moderne. Son lévrier bondissant, mélange de bas relief et de gravure, fait penser à une créature inconnue émergeant d'une argile primitive. » Souren Melikian, International Herald Tribune

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Annie SAMUELSON
« Annie Samuelson n'a pas seulement l'art et la manière de nous faire évoluer autour de son monde à elle : en chemin, elle nous invite discrètement à regarder notre monde à nous en faisant le pas de côté qui change tout. » Pierre Assouline.
Annie Samuelson a étudié le dessin et la sculpture à Parsons School et à l'Art Students League où elle a vécu près d'une dizaine d'années après avoir fait des études de mathématiques et d'économie à l'Université de Tours.
Elle travaille la terre et le plâtre dans son atelier parisien et expose à paris et en province chaque année depuis son retour en France .
Pi —, l'universel ou l'infini
'La sphère, le cercle et l'espace qui les entoure nous ramène à notre existence au sein de l'univers, à son mystère et à l'incertitude de ce qui adviendra. La sphère, à la fois protection et maternité, est aussi l'isolement de la condition humaine dans notre univers immense et à peine découvert. L'être ou les êtres s'y blottissent et se nourrissent ainsi de cette forme dégageant une énergie optimale. C'est malgré tout le meilleur endroit pour vivre, le seul aussi.
Mes sphères cachent une solide armature, résistent au temps mais en portent les stigmates, de fines cicatrices, mais tel un bouclier elles montrent avant tout leur forme , symbole d'éternité .
Le temps est indissociable de Pi, il se déroule en une rotation infinie et régulière, que personne ne peut freiner ni modifier.
Pi, le temps, la mort et la vie, et la lumière entre les deux, forment un tout où chaque être a la liberté de vivre des sensations le reliant à la grandeur de l'univers et à son mystère. Mon travail tente de mettre chacun en relation avec cette liberté, cette possibilité de se sentir confondu avec un tout plus grand nous rappelant à notre humanité.'
- Paris- Atelier / Lézarts de la Bièvre
- Tours- Galerie Béranger
- Lyon- Galerie du Triangle

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Madeleine LANTA
«...L'atelier est mon oxygène...»
Parcours artistique:
- Arts décoratifs de Strasbourg
- Beaux-Arts de Lille
- Etalagiste pendant 10 ans
- Atelier Nicolas Poussin
- Atelier de la Miroiterierie et rencontre avec Les Sardines.
Expositions:
- Galerie Animalière Dorothée Chastel
- Salon des Indépendants
- Salon Sciences et Nature

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Dominique AMIEL-ZONCA
'Je veux multiplier les danses de terre lourde
chanter mille fois ma joie comme un don primitif
aux dieux qui m'ont souri
dire mille fois , merci'
' à toute géographie torturée
non pas l'œ,uvre tendue , sourde , monotone autant que la mer qu'on sculpte sans fin —, mais des éclats , accordés à l'effervescence de la terre —,
et qui ouvrent au cœ,ur, par dessus le souci et les affres, une stridence
de plages —, toujours démis, toujours repris, et hors d achèvement —,
non des œ,uvres mais la matière elle même dans quoi l'ouvrage chemine —, tous, liés à quelque projet qui bientôt les rejeta —, premiers cris, rumeurs
naïves, formes lassées —, témoins , incommodes pourtant, de ce projet —, qui,
de se rencontrer imparfaits se trouvent solidaires parfaitement —, et peuvent ici convaincre de s'arrêter à l' incertain —, cela qui tremble, vacille et sans cesse devient —, comme une terre qu'on ravage —, épars.' Edouard Glissant- Le sel noir - (Poésie /Gallimard )

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Marielle LIPMANN
« Dessinatrice, décoratrice et peintre, Marielle a opté pour la sculpture il y a une quinzaine d'années.
Il émane de ses créations un évident sourire.
Parce que son travail est un jeu sérieux et que sa passion pour la nature s'amuse depuis toujours avec couleurs et lumière. »

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Jacqueline TRABUC
Après avoir travaillé dans l'édition, Jacqueline a quitté le domaine des mots pour celui des signes. Aussi ne sait-elle pas parler de son travail ('sinon j'aurai écrit') , d'autres le font pour elle :
« Jacqueline Trabuc sculpte, déchiffre mais jamais n'explicite. Elle recueille de translucides reliques qu'elle métamorphose en créatures qu'on ne connaissait pas et qui disent à notre mémoire un chant très archaïque.
Dans la terre du souvenir, terre antérieure, c'est l'œ,uvre d'archéologue du songe, en quête de ses propres vestiges. »
Fait partie du 6ème, atelier d'artistes et a exposé au hasard des rencontres (Peinture Fraîche, Galerie Béatrice Soulié, Caroline Corre, Salon de Mai, Florence, Metz, San Francisco (prix de la Direction Funeria) Alice à la folie (rue Berryer, et fondation Arturo Lopez)... Et prochainement Fondation Taylor.

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Elizabeth LENOIR
Après avoir fait des études d'architecture et de stylisme, je me consacre entièrement au dessin et à la sculpture sous toutes ses formes, Terre Cuite Patinée et Bronze, Bois, Pierre, Granit.
Je suis en recherche d'écriture dans les différents matériaux que je travaille de façon à diversifier mon interprétation, en quête d'inspiration dans des régions intérieures, inconnues, où règne la plus grande liberté d'expression en l'absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale, dans le figuratif ou dans l'abstraction.
« Sarment millénaire, granit façonné par l'intrusion incessante des vagues ou du vent, coulées de lave les ayant surprises en pleine vie, les terres cuites d'ELizabeth Lenoir semblent sorties tout droit de l'Ile de Pâques ou de Pompéi, avoir été la proie des éléments de la nature comme du Temps. Mais les coups de lame qui cisaillent ses personnages et les rendent inaccessibles à la caresse, ont bien été portés de main d'Homme tant émanent d'eux d'incertitudes et de désirs, d'espérance et de fierté, laissant apparaître leur humanité, leur véracité, leur inextinguible besoin d'amour. »Anne Bolori
- Ecole CHARPENTIER
- Diplôme des Arts Décoratifs (CAMONDO)
- Atelier NICOLAS POUSSIN,
- Modelage et Dessin avec ALAIN VUARCHEX
- Formation en Taille Directe aux BEAUX ARTS DE LA VILLE DE PARIS
- Atelier de SYLVIE LEJEUNE
- Atelier de la MIROITERIE de PIERRE LE CACHEUX (Atelier libre)
- Atelier personnel permanent : Z.A de la Ville au Coq, 35800 St Lunaire

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Caroline SENECLAUZE
Après une double formation en arts plastiques (Académie Charpentier, Atelier Met de Penninghen) et en Histoire de l'art (Institut des Carrières Artistiques —, ICART), Caroline Sénéclauze se consacre à la sculpture à partir de 1993.
Son regard est nourri par la musique classique pour laquelle elle consacre une autre partie de sa vie professionnelle. Elle a à cœ,ur de laisser la matière vibrer et résonner par juxtaposition de touches comme autant de notes formant une nouvelle matière harmonique.
Caroline Sénéclauze a exposé dans différentes manifestations artistiques collectives et a réalisé des expositions personnelles dans différentes galeries à Paris et en province.
L'homme et l'animal sont une source d'inspiration continue, force animale chez l'homme et animal humanisé. La matière est énergique et spontanée laissant à la terre son ardente présence. Formes humaines ou animales tendues vers un même élan vital que la matière capte dans un instantané. Ces forces entrelacées qui illustrent cette dualité et sa constance soulignent les affinités entre le monde animal et celui de l'homme.

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Gunilla WINGKVIST
My name is Gunilla Carina Eva-Lena Wingkvist.
I live and work in Paris.
My work is often bigger than I am.
The creations stem from a strong inner feeling, rooted in the guts.
It's spontaneous!
I don't start from sketches, I build, explore directly.
I am incapable to tell where it comes from, where it will lead me.
But I am trusting the process and the surprises that comes with it.
I am presently working with metal mesh, plaster, ropes and clay which I shape, mold and carve.
I am Enjoying the Journey!
Studied acting and dance in New York, performed in Broadway shows, musicals, plays etc..
Either in the performing arts or in sculpting, I search in the unknown territories.
I listen to my sculptures like actors do in a scene, slowly unveiling
... quietly whispering and sharing their stories...

- 15 rue de Vaugirard,
Paris 75006
- Accès : Métro (4,10) Odéon, Mabillon / RER B : Luxembourg / Bus :58, 84, 89
- Accès handicapé
- Entrée libre
- Retrouvez l'univers des Sardines sur leur site internet : http://15sardines.free.fr
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