Un jeune homme retrouve sa mère biologique qu'il recherchait depuis son enfance. Un film à voir depuis le 30 septembre, signé Claude Miller et son fils.

À l'affiche de 150 salles le 30 septembre, «Je suis heureux que ma mère soit vivante», film soutenu par la Région Ile de France, présente une particularité rarissime : il est cosigné d'un père et de son fils. En l'occurrence, Claude Miller —, réalisateur de Garde à vue, Mortelle Randonnée, La Petite Voleuse ou encore Un secret, également soutenu par la Région —, et Nathan Miller, jusqu'ici assistant-caméra.
Le personnage principal de leur film s'appelle Thomas (interprété par Vincent Rottiers). Entre 7 et 20 ans, le jeune homme a recherché sa mère biologique (Sophie Cattani). À l'insu de ses parents adoptifs (Christine Citti et Yves Verhoeven), il va enfin retrouver cette femme qui l'a abandonné à 4 ans. Son objectif dès lors : commencer auprès d'elle une « double vie »...
Présenté à la 66e Mostra de Venise, «Je suis heureux que ma mère soit vivante» s'inspire d'un fait divers des années 1990. Le film devait initialement être réalisé par Jacques Audiard, mais celui-ci en a finalement cédé le scénario, dès qu'il a été prêt, à Miller père et fils. Une bonne raison à cela : il devait se consacrer au même moment à la réalisation d'«Un prophète».
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