Passion Beauté et la cause de l'autisme

Les parfumeries Passion Beauté s'engagent dans une opération solidaire

A l'occasion de la la Fête des Mères et de la Fête des Pères les Parfumeries Passion Beauté soutiennent la cause de l'autisme. Eglantine Éméyé devenue l'égérie de Passion Beauté en juin 2008, elle-même mère d'un jeune enfant autiste a créé l'association Pas à Pas Paris, à laquelle seront reversés les bénéfices d'une grande opération de soldarité.

 

Passion Beauté et Eglantine Eméyé

Du 20 mai au 21 juin 2009, à l'occasion de la Fête des Mères et
des Pères, des bracelets siglés Pas à Pas Paris seront vendus au
prix de 5 € dans toutes les parfumeries Passion Beauté.
Les bénéfices seront reversés à l'association Pas à Pas Paris .
Pour cette grande opération de solidarité, Passion Beauté
s'engage à reverser un minimum de 15 000 € à l'association.

Pourquoi Passion Beauté s'engage ?

Pour ses responsables 'Si la Parfumerie vend une part de rêve et de luxe, il est apparu naturel, pour l'ensemble des associés, d'entreprendre une démarche citoyenne et de s'engager concrètement auprès d'une association caritative.'

Eglantine

Touchée à titre personnel par l'autisme (son plus jeune fils,
Samy, souffrant de ce handicap),
Églantine a cofondé, en avril 2008, l'association Pas à Pas Paris pour soutenir les familles et les enfants touchés par toutes
les formes d'autisme.

Pour Passion Beauté, soutenir la cause de son égérie s'est présenté comme une évidence.

Pas à Pas Paris : ouvrir les enfants autistes à la vie...

L'association Pas à Pas Paris soutient les enfants
souffrant d'autisme et de troubles apparentés en
assistant leurs familles. Grâce à un soutien
psychologique, financier et méthodique, elle
contribue à socialiser ces enfants et à les sortir de
leur enfermement.

Seul un apprentissage intensif dès le plus jeune
âge (8 à 10h / jour) et un suivi paramédical
permanent conduisent l'enfant à s'ouvrir au
monde.

La méthode ABA

Peu connue en France où les pouvoirs publics sont
très en retard dans la reconnaissance de cette
méthode, ABA (Applied Behaviour Analysis) a
déjà fait ses preuves dans de nombreux pays :
Scandinavie, Allemagne, Grande-Bretagne, Etats-
Unis et Canada.

L'enfant, accompagné de personnes spécialement
formées à cette méthode, réapprend les gestes les
plus simples (suivre des yeux, saisir un objet,
mâcher, marcher, parler...) qui lui permettront
d'accéder à une part d'autonomie.

Après 2 ou 3 ans d'accompagnement ABA, les
enfants autistes rejoignent, à l'école, les enfants de
leur âge.

Or cet accompagnement s'avère extrêmement long
et coûteux. La prise en charge d'un enfant s'élève
à 3 000 € / mois. Nombre de familles sont donc
laissées de côté sans espoir de pouvoir bénéficier de
cette méthode.

Créer le premier centre d'accueil à Paris

En France, une seule Université, celle de Lille,
analyse, enseigne et applique la méthode ABA dans
son centre spécialisé de Villeneuve d'Ascq. Face à
cette situation, Pas à Pas Paris souhaite promouvoir,
entre autres, cette méthode pour en faire bénéficier le
plus grand nombre. Son objectif : ouvrir le 1er institut
éducatif de jour sur Paris d'ici la fin de l'année 2009.

Pour plus d'informations : www.pasapasparis.com
(qui fait peau neuve à partir du 20 mai 2009)

L'autisme :Un enfant dans sa bulle

Les signes de l'autisme apparaissent très tôt dans l'enfance, avant 3 ans, et sont extrêmement variables d'un individu à un autre.

Globalement, le contact avec l'enfant est difficile : il parle mal ou peu,
semble vivre dans sa bulle, indifférent au monde extérieur. Il
répète inlassablement les mêmes gestes : tourner la tête, bouger les
mains, se balancer...

1 enfant sur 150 serait touché par une forme d'autisme.

En France, on estime que 60 000 à 120 000 personnes sont touchées par ce handicap.

 

Par Elsa Menanteau

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